Eto’o attaqué pour « double nationalité » !
Le président de la Fédération camerounaise de football est sous le feu des critiques pour sa double nationalité espagnole. Une association exige sa déchéance et sa suspension à vie pour toute activité liée au football au Cameroun. Cette plainte peut sembler opportune puisqu’il a été élu en toute connaissance de cause et il fait déjà l’objet d’une enquête de la CAF pour trucage de matches
D’un Autre Point de vu…
L’accusation d’une double nationalité n’est pas un argument valable contre Samuel Eto’o pour sa présidence de la Fecafoot.
Tout d’abord, cette possible double nationalité a été connue de tous lors de son élection en tant que président de la Fecafoot. Elle n’a pas empêché sa candidature ni son élection, ce qui remet en question la légitimité de cette accusation.
De plus, Samuel Eto’o a défendu les couleurs du Cameroun pendant de nombreuses années, montrant ainsi son engagement envers son pays. Cette accusation peut donc sembler hypocrite et opportuniste de la part de l’Association des clubs amateurs du Cameroun, surtout lorsque l’on prend en compte le timing de cette plainte.
Enfin, le fait que Samuel Eto’o soit également visé par une enquête de la CAF pour trucage de matches ne justifie en aucun cas une suspension à vie de toute activité liée au football au Cameroun. Cette accusation doit être traitée séparément et de manière objective, sans amalgame avec la possible double nationalité d’Eto’o.
Il est également important de noter que les décisions concernant la perte de nationalité d’un Camerounais doivent respecter toutes les procédures légales en vigueur, afin de garantir les droits et la justice pour tous.